Semaine du 23 au 28

Je vous ai mis une photo de la nuit  lors de l’inauguration du M2, bien sur elle rend moins bien qu’en réel  mais on devine quelque spot de station de métro. (mon appareil n’a une ouverture maximum que de 15 sec, il aurait fallut du 30sec au moins)

Pour ce qui est de la semaine, je vais commencer par ma connerie… j’ai réussi à casser la pompe, et à arracher la valve de la chambre à air

(comme quoi, quand ça coince on peut pas tout résoudre par la force )

Après je me suis retrouver au cœur d’un jeu entre deux étudiants. Les 2 personnes en questions se sont parlé via le forum des étudiants des Science Criminelles. Il connaissait donc leur prénom mutuel mais sans mettre de visage… hors il se trouve que moi je connaissait déjà les 2 et quand l’un m’a appris qu’il cherché l’autre …. Je me suis senti avec un petit pouvoir…Et je leur donne des indices mais sans leur donné la réponse .. on verra qui gagnera.

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Sinon, les gens viennent me parler sans que j’ai à aller vers eux … donc je n’aurai pas le syndrome de l’isolement qui aurait pu être un facteur de dépression. Au pire j’aurai des coup de blues parce que vous me manqué quand même !!

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Point de vue des cours j’ai envie de partager avec vous, un peu de ce qu’on fait en criminologie.  Surtout sur la partie qui relativise la notion de crime. En effet, la criminalité

c’est la transgression des normes pénales en vigueur dans un système social donné.

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Ce qui signifie déjà que ce qui est crime en France ne l’est pas forcement en Suisse

( notamment par rapport à l’argent) et ce qui est crime en France ( comme la pédophilie ) n’est pas considérer de la même manière en Inde par exemple ( mariage à partir de 14 ans je crois )

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Ensuite il y a un deuxième point de relativité :

Contrairement à certaine normes physiquement donnée, ( ex : l’eau à une pression de 1atm boue à 100°C est valable pour toute société ) les normes pénales sont socialement produites, c’est à dire définie soit par le plus grand nombre (majorité quantitative comme par exemple en démocratie) soit par ceux qui ont le pouvoir ou le savoir (majorité qualitative comme par exemple une dictature ou une théorie d’astrophysicien)

Ce qui signifie que le crime n’existe pas en tant que tel ! Et pourtant il n’existe pas de société sans crime (dans une abbaye ou il ne se passe rien, le crime deviendra le fait de parler en dehors des heures de culte….et des sanctions seront prise pour les déviants !

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Les déviants et les criminels  sont donc normal dans le sens où se sont des agents réguliers.

Il sont même nécessaire à l’évolution des société… sinon nous serions encore avec le droit de cuissage, avec la pendaison à vue des homosexuels, … qui sait ce que nous considérons aujourd’hui comme crime sera peut être pour nos enfants des normes.

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Mais paradoxalement même si la criminalité n’est pas toujours un mal, … les sociologues disent qu’il faut la combattre afin d’asseoir  pouvoir de l’état, de mettre des limites, et ainsi d’assurer une cohésion sociale. Pour vivre en paix, il faut être un mouton et suivre les normes.